Accueil

|

Nos activités du mois

|

Le club de Toussaint

| Les éphémérides | Les dossiers | Le glossaire |

Contacts

|

Les liens

Toussaint,

 

Editer et expédier une demande de maintenance afin que nous en soyons automatiquement informés et puissions résoudre le problème.

| Lien(s) mort(s) | Erreur(s) | Bug(s) |

Imprimer

Observer la planète Mars

Contrairement aux planètes Saturne et Jupiter, qui font les délices des astronomes en culottes courtes, Mars est difficile à observer et encore plus à photographier.

Tout d'abord, parce que c'est une toute petite planète, de 6 780 km de diamètre, contre 12 742 km pour notre Terre.

Comparaison entre les tailles de la Terre et de la planète Mars

Cette petite taille explique le faible diamètre apparent de Mars dans un télescope, même lorsqu'elle passe au plus près de la Terre : seulement 20.8" d'arc lors de son passage en opposition le 13 juin 2001. Lors de l'exceptionnelle opposition d'août 2003, Mars mesurera 25,1". En 2005, le diamètre apparent retombera à 20.18".

Autre difficulté, la hauteur de Mars au-dessus de la ligne d'horizon : c'est ainsi que lors de l'opposition de 2001, la Planète Rouge est toujours restée très basse sur l'horizon, y compris à l'heure de son passage culminant dans le ciel, au méridien. Mars est ainsi toujours restée scotchée au ras des bancs de brume qui encombrent souvent l'horizon et qui sont si empoisonnants pour l'observation au télescope. Il y avait donc peu de chances de distinguer Mars aussi bien que les sondes spatiales de la NASA ! Et plus vous habitiez au Nord et plus Mars était basse sur l'horizon !

En 2003, c'était déjà mieux : la hauteur de Mars était de presque 30 degrés au dessus de l'horizon à la fin du mois d'Août pour les observateurs situés dans le Sud de la France, et de 24 degrés pour ceux situés au Nord. En 2005, ce sera infiniment plus confortable : plus de 57° pour les amateurs normands, comme le montre le petit schéma ci-dessous. Le meilleur sera pour 2007, avec 67° !!! Ensuite, Mars redescendra d’année en année l’escalier du ciel.

C'est lors du passage au méridien que les images de Mars ont le moins d'atmosphère à traverser, et par conséquent qu'elles sont le moins déformées par la turbulence atmosphérique terrestre. Notez qu'en seconde partie de nuit, l'équilibre thermique de l'air et du sol favorise généralement la stabilité atmosphérique. C'est une période plus favorable pour obtenir une image stable et donc détaillée. Pour connaître avec précision les heures de lever, de coucher et de passage au méridien de la Planète Rouge pour votre lieu d'observation, connectez-vous au serveur d'éphémérides de l'Institut de Mécanique Céleste. Ci-dessous, quelques dates, calculées pour Fécamp (en Temps Universel).

Par ailleurs, pour éviter d'autres sources classiques de turbulence, ne faites pas la bêtise de placer votre télescope sur une terrasse de béton ou à côté d'un toit de maison : le rayonnement solaire emmagasiné durant la journée est restitué la nuit sous forme de rayonnement thermique. L'air au-dessus de votre toit ou de votre terrasse va jouer la danse de Saint Guy, exactement comme l'air chaud au-dessus d'une casserole sur le feu ... Sans parler des lampadaires, ennemi juré de l'astronome amateur !!! Vous pouvez estimer facilement la turbulence atmosphérique en observant Antarès, l'étoile principale de la constellation du Scorpion qui brille juste au-dessus de l'horizon Sud en début de nuit. Si elle scintille fortement, il y a peu de chances que les images soient bien stables ...

Si votre ordinateur dispose d'un logiciel capable de lire de la vidéo au format mpeg, vous pouvez ouvrir le film que nous vous proposons pour voir à quoi ressemble une vision dans le télescope géant d'Hawaï de Mars gigotant au gré des turbulences (attention : le chargement de ce film de 600 Kilo-octets, au format mpeg, demande un peu de temps).

Préparez votre observation de la planète Mars

En fonction de la date et de l'heure, déterminez les principales formations martiennes visibles au moment de l'observation en vous aidant des petites cartes rudimentaires ci-dessous.

Nous vous proposons une carte plus détaillée, fournie par l'Association of Lunar and Planetary Observers (ALPO), avec son mode d'emploi.

Pour faciliter vos observations, vous pouvez également télécharger MERIDIAN, petit logiciel gratuit de simulation de la surface des planètes mis au point par nos amis canadiens et traduit en français par M'sieu' Duplessis (2003 fois merci !)

Toujours en français, vous trouverez également de belles cartes de Mars, établies à partir des sondes spatiales qui ont survolé la Planète Rouge, sur le site de Philippe Labrot.

Autre excellent logiciel de cartographie martienne, mais en anglais, téléchargeable gratuitement : Mars Previewer II, que vous trouverez sur le site d'un célèbre astrocamé, Bernard Bayle.

Le site de la NASA vaut également le détour à condition, là encore, que vous pratiquiez l'anglais !

Compte tenu de la petite taille de Mars, un instrument est indispensable pour en observer les détails. Pas forcément un gros télescope de 250 mm de diamètre ! Avec une lunette astronomique de 60 mm de diamètre et un grossissement X 100, on peut déjà commencer à distinguer les calottes polaires de Mars : ce que l'astronome néerlandais Christiaan Huygens a réussi à observer au XVIIème siècle avec sa petite lunette bancale, vous pouvez l'observer aussi ...

Mais, en général, il faut une lunette astronomique d'au moins 80 mm de diamètre pour espérer apercevoir, à un grossissement X 150, les principales zones sombres de la planète Mars : Syrtis Major, Sinus Meridiani, Sinus Sabaeus et Mare Acidalium. Avec un diamètre supérieur à 200 mm et avec de bonnes conditions atmosphériques, il est parfois possible de suivre les évolutions des formations martiennes dues aux tempêtes de sable, comme ce fut le cas lors de l'opposition de 2001, ou à la fonte de la calotte polaire. C'était justement le cas lors de l'opposition de 2003 : le pôle Sud de la planète Mars était alors orienté vers la Terre et, là-bas, c'était le printemps. Par contre, lors de l'oppostion de 2005, le pôle sud sera toujours tourné vers nous mais ce sera alors l'été et la calotte polaire sera donc très réduite.

Evolution de la calotte polaire au fil des saisons martiennes
Photo NASA / télescope spatial Hubble

Autre phénomène observable avec un bon télescope : la ronde de Phobos et Deimos, les deux satellites de Mars. En novembre 2005, Phobos atteindra la magnitude 10.9 et Deïmos la magnitude 12.

Phobos

Phobos est un petit caillou irrégulier d'environ 27 km de long; il effectue une révolution autour de la Planète Rouge en 7.65 heures, alors qu'il qu'il faut 30.3 heures à Deïmos, qui est un peu plus petit (environ 15 km de longueur). La rapidité de Phobos a une conséquence assez étrange : un astronaute ayant atterri sur Mars verrait Phobos se lever à l'Ouest et se coucher à l'Est, et celà deux fois par jour ...

Deimos

Phobos et Deïmos semblent être deux astéroïdes, mesurant respectivement 27 et 15 km, que Mars a capturé voici plusieurs milliards d'années. L'orbite de Phobos se rapproche lentement mais sûrement de Mars et il devrait s'y écraser dans moins de 100 millions d'années.

L'ombre de Phobos sur Mars - Photo NASA / sonde spatiale Mars Global Surveyor

Pour Deïmos, c'est l'inverse : il devrait un jour réussir à échapper à l'attraction gravitationnelle de Mars et aller se perdre quelque part dans le système solaire

Pour faciliter vos observations des deux satellites de Mars, repérez-les grâce aux cartes interactives du Jet Propulsion Laboratory de la NASA et de son simulateur des positions des corps du système solaire

Réglez soigneusement votre télescope :

Miroirs parfaitement alignés. Si besoin, refaites leur collimation avant de démarrer votre observation. Pour collimater un télescope type Newton, visitez le site de Yann Pothier. Pour collimater un télescope type Schmidt-Cassegrain, visitez le site de Thierry Legault

Oculaires de qualité. Laissez les oculaire type Kellner ou Huyghens dans leur boîte de rangement et sortez vos Rolls Royce : oculaires orthoscopiques haute définition, Nagler et autres super-cadeaux de Noël)

Mise au point de l'image la plus précise possible. Une bonne mise au point se fait soit sur la calotte polaire de Mars, soit sur le bord de la planète, mais en aucun cas sur son limbe, cette limite floue entre la partie de Mars plongée dans la nuit et la partie éclairée par le Soleil.

N'oubliez pas de sortir votre télescope suffisamment tôt pour qu'il se mette à la température de l'air. Une heure peut être un minimum. Sauter cette étape est le meilleur moyen pour avoir à des turbulences d'enfer à l'intérieur du tube de votre instrument, avec à la clé des images toutes floues.

Monture soigneusement mise en station sur le pôle Nord céleste. Si vous voulez faire des photos, ce point est particulièrement important : il serait dommage que votre suivi soit totalement pourri, ce qui réduirait à néant tous les réglages des optiques de votre télescope. Plusieurs techniques de mise en station sont utilisables, dont vous trouverez la description sur le site de Serge Bertorello

Pensez à noter la date, l'heure et toutes les informations que vous jugerez utiles (télescope employé, grossissement utilisé, filtres éventuels, qualité de la transparence et de la turbulence du ciel, pellicule photo et temps de pose employés ...)

Une fois tous ces réglages effectués, ne vous attendez pas à voir des images de la même qualité que celles fournies par le télescope spatial Hubble : Mars est toujours un peu floue et les détails y sont fugaces. Sachez attendre patiemment, l'oeil rivé à l'oculaire, qu'un trou dans la turbulence atmosphérique de la Terre vous permette de repérer quelques fins détails sur la planète rouge. L'imprécision des aspects de Mars déconcerte toujours les astronomes en herbe. Pour bien fixer les idées, voici ci-dessous ce que peut montrer un télescope professionnel comme celui d'Hawaï (à gauche), ce que Hubble voit (à droite) et ce que peut montrer un petit télescope amateur (en-dessous, en grossissant à mort).

Photographier la planète Mars :

La photographie de Mars est assez délicate : turbulence nulle, mise au point parfaite et suivi impeccable sont les 3 mammelles de l'astrophotographe martien.

Le rapport F/D résultant de votre télescope doit être de l'ordre de 60 à 110. Il peut être obtenu soit en utilisant une lentille de Barlow, soit en emboîtant plusieurs lentilles de Barlow les unes dans les autres (si on n'a peur de rien), soit en employant des tubes allonges pour agrandir encore l'image de Mars au foyer de votre télescope. Pour des télescopes plus ouverts, dont le rapport F/D est inférieur à 10, les astronomes amateurs chevronnés conseillent plutôt d'agrandir l'image de Mars en utilisant soit un oculaire de longueur focale courte (moins de 10 mm), soit des oculaires de focale plus longue mais avec une distance de projection plus importante.

Les astrophotographes confirmés utilisent une loupe grossissante, qu'ils fixent sur le viseur de leur boîtier photo afin de parfaire leur mise au point. Ils utilisent un déclencheur souple afin de limiter les vibrations au moment du déclenchement de leur pose photographique.

A défaut, vous pouvez employer la technique de l'occultation manuelle : un carton noir est placé devant l'objectif de votre télescope, en veillant à ne pas toucher ce dernier; vous réglez votre appareil photo en pose longue; puis déclenchez votre pose photo; attendez quelques secondes que les vibrations dues au déclenchement se soient dissipées; vous pouvez alors enlever votre carton noir le temps de la pose photo; une fois celle-ci achevée, replacez votre carton noir devant l'objectif de votre télescope; vous pouvez alors interrompre votre pose photo au moyen du déclencheur.

Pour mettre toutes les chances de son coté, il est souhaitable de faire de nombreux clichés avec différents temps de poses et en changeant la mise au point (tous les 4 à 5 vues). Ne vous jetez pas au fond d'un puits si vous n'avez qu'un ou deux clichés de montrables sur l'ensemble de votre bobine de pellicule : c'est normal ! D'excellents clichés auront l'aspect ci-dessous :

illustration fournie par l'ALPO

Selon le type de pellicule photo utilisé, le grandissement de l'image et l'emploi éventuel de filtres, les temps de poses s'échelonneront de 1/2 à 3 secondes. Plus la sensibilité du film sera élevée, plus le temps de pose sera court, ce qui est intéressant pour essayer de limiter les effets de la turbulence. L'inconvénient des pellicules très sensibles réside dans leur grain, plus gros, ce qui nuit à la finesse de l'image. La pellicule T-MAX 100 peut être une bonne solution de compromis. La photo couleur est tentante, mais la résolution de ces films est souvent moins bonne que le noir et blanc. Quelques pellicules sont cependant utilisables : Kodak Gold 100, Fuji Sensia 100, Kodak Elite 100, Fuji Velvia 50 poussée à 100, Kodachrome 64, Fuji Superia 400, Kodak Pro Gold 400.

illustration fournie par l'ALPO

N'hésitez pas à installer sur votre ordinateur le logiciel gratuit de Michaël Covington afin de vous aider à calculer au mieux vos temps de pose.

L'imagerie numérique avec une caméra CCD

Les propriétaires de caméra CCD, sont soumis aux mêmes contraintes que pour la photographie argentique : absence de turbulence atmosphérique, mise au point parfaite, absence de vibrations.

Pour la mise au point, chaque logiciel d'acquisition d'image propose généralement un dispositif plus ou moins élaboré que vous emploierez sur des étoiles faibles.Vous visiterez avec profit la page web que Marc Sylvestre consacre à la mise au point avec une caméra CCD. Nous lui avons pour notre part emprunté la technique du disque de Hartmann, facile à bricoler, avec lequel nous fignolons notre mise au point en pointant notre télescope sur une étoile faible avant de nous diriger vers Mars.

L'immense avantage de la CCD réside dans son extrême sensibilité, qui permet des temps de pose infiniment plus courts qu'avec un appareil photo classique : on peut ainsi espérer passer plus facilement dans un "trou" de la turbulence atmosphérique de la Terre.

Le disque de Mars doit avoir une taille d'un dixième à la moitié de celle de votre capteur CCD. Un filtre anti-infrarouge est fortement conseillé par les CCDistes de renom, surtout avec l'emploi de systèmes à lentilles (lunette, Barlow, oculaire). L'utilisation de grands rapports F/D (>10) peut projeter l'image de poussières sur le capteur et les rendre visibles. Pour Mars, pas beaucoup de solutions : il est difficile de faire un compositage de plusieurs prises de vue en plaçant Mars sur différents endroits du capteur, en raison de la rapide rotation de la planète sur elle-même; les différentes prises de vue doivent être faites dans un temps court, ce qui n'est pas toujours facile lorsqu'on est contraint d'attendre les "trous" de turbulence pour faire ses photos.

cliché Maurizio Di Sciullo

Autre possibilité : réduire la longueur focale. Mais la résolution des capteurs CCD (entre 6 et 24 microns) et la nécessité d'une image occupant un assez grand nombre de pixels (100 x 100 au plus) ne facilitent pas la tâche. Dernière solution, probablement la plus fiable, l'emploi de "flat-fields" bien faits pour corriger l'absence de passage de lumière à l'endroit des poussières présentes sur le miroir de votre télescope, ainsi que l'explique très clairement Valère Perroud.

Une solution élégante et rapide réside certainement dans l'emploi d'une webcam modifiée pour s'adapter à votre télescope : il est plus facile de repérer dans le flot continu d'images de votre film les quelques images exploitables que vous pourrez ensuite isoler et compositer. Le site de Bernard Bayle vous donnera énormément de conseils à cette fin. De remarquables exemples de photos acquises avec des webcams ont été obtenus lors de l'opposition de 2001.

Utilisant la même technologie, les webcams ont permis de réaliser un bond fabuleux dans la photographie planétaire. Pour en savoir un peu plus, consultez le remarquable dossier réalisé par Jean Christophe Dalouzy, de la Société Astronomique de Rouen.

Les filtres colorés :

L'emploi de filtres colorés permet de renforcer certains détails de la surface de la planète Mars.

Pour l'observation visuelle, notamment avec des instruments de moins de 150 mm de diamètre, il est souhaitable de prendre des filtres clairs pas trop denses afin de limiter l'absorption lumineuse. Un filtre jaune (Wratten 8, 12 ou 15) pourra diminuer l'aberration chromatique d'une lunette astronomique et permettre de mieux voir les tempêtes de poussières qui recouvrent parfois le globe martien durant plusieurs jours, et quelques fois plusieurs semaines.

Les filtres rouges (W 23A, 25 ou 29) ou orange (W 21) renforcent les zones sombres de Mars.

En photo, l'emploi de filtres vous obligera à des temps de pose beaucoup plus longs, jusqu'à 3 fois le temps de pose normal. Attention, ne vous faites pas piéger : mettre un filtre sur l'oculaire change complètement la mise au point. Cette dernière devra donc être refaite à chaque fois que vous visserez un filtre sur votre oculaire.

Si vous disposez d'un télescope d'au moins 250 mm de diamètre, vous pouvez tenter l'observation des brouillards martiens (filtre vert W 56 et 58) et des nuages de la haute atmosphère martienne (filtre bleu W 80A, W64 ou filtre violet W47). Brumes et brouillard se voient généralement en bordure de la calotte glaciaire du pôle ou bien le long du terminateur (= la ligne qui sépare le jour de la nuit sur Mars)

En CCD, vous pouvez également essayer les filtres rouges pour améliorer le contraste entre zones claires et zones sombres de la surface martienne.

En savoir un peu plus sur la Planète Rouge :

Pour en savoir plus sur la planète Mars, le site de Philippe Labrot est une référence incontournable pour tous les francophones : les reliefs de Mars, la météo de Mars, les missions spatiales sur Mars, les photos de Mars, les cartes de Mars, les films de cinéma parlant de Mars : tout y est. Un site absolument fabuleux à ne pas manquer, sous peine de courir le risque de mourir idiot

Comme d'habitude, le site internet de la NASA et du Jet Propulsion Laboratory est plein de photos splendides. Le site de la sonde Mars Global Surveyor, actuellement en orbite autour de la planète Mars est également très riche de photos récentes pour qui veut se rincer l'oeil.

Photo NASA / sonde spatiale Mars Global Surveyor

Evidemment, le site consacré par Jim Bell à la planète Mars vue par le télescope spatial Hubble et les plus grands télescopes terrestres n'est pas non plus piqué des hannetons ...

Et si la langue de Shakespeare vous rebute, vous ne perdrez pas au change en consultant à la place le site de l'observatoire du Pic du Midi.

Enfin, si vous souhaitez poser votre candidature pour le prochain voyage sur Mars, n'hésitez pas à contacter la section française de la Mars Society.

Photo NASA / sonde spatiale Viking

Et surtout, n'oubliez pas que l'abus d'observations nocturnes de la planète Mars n'est pas sans risques, tant sur le plan physique que sur le plan mental.

Retour à la première page
L'opposition de 2003
Comment observer et photographier Mars avec un télescope
L'opposition de 2005
Ephémérides 2005 de la Planète Rouge
Cartes de Mars
Photographier Mars avec une webcam
Nos meilleures photos de l'opposition de 2001
Les plus belles photos réalisées à la webcam en 2001
La Grande Tempête de sable de l'année 2001

Retour haut page

 
InfInformation sur l'utilisation de la pagermation

Accueil

|

Nos activités du mois

|

Le club de Toussaint

| Les éphémérides | Les dossiers | Le glossaire |

Contacts

|

Les liens

Merci de nous faire part de toutes vos remarques, critiques et commentaires sur ce site